Capter les vibrations de la scène lors des spectacles du Calgary Folk Festival a permis à Natalie Robertson de démontrer l’efficacité de son invention. Elle a installé 70 capteurs sous la scène du festival à la fin de juillet et ces capteurs ont récolté les vibrations de la musique et des musiciens, pour les transformer en électricité. Cette électricité a ensuite été emmagasinée dans des batteries, qui ont finalement alimenté un groupe de 113 ampoules DEL.
Comme quoi la recherche au chapitre de l’énergie prend plusieurs formes et vient prouver ce que Nikola Tesla a toujours prétendu : nous sommes entourés d’énergie qui ne coute rien; il suffit que nous sachions la capter, la transformer, pour ensuite l’utiliser.
Natalie Robertson est étudiante à la maitrise en design environnemental, à l’université de Calgary. Certaines usines utilisant de la machinerie en constante vibration seront certainement intéressées à utiliser ce moyen pour réduire leurs couts d’énergies, tout comme les grands festivals comme Osheaga, le Festival d’été de Québec, Le Mondial des cultures de Drummondville, etc. Un coin de voile vient d’être levé sur une autre possibilité.
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