Hydro-Québec adopte les technologies vertes de production d’électricité, non pas par vertu ni pour plaire aux populations qui en ont marre d’entendre le bruit des groupes électrogènes qui leur produisent de l’énergie, mais bien par souci d’économie. Selon La Presse, les 22 réseaux autonomes du Québec génèrent un cout net de quelque 200 M$ par année.
Parmi ces réseaux non raccordés au réseau principal d’Hydro-Québec, il y a bien sûr celui des Îles-de-la-Madeleine, qui devrait à terme être remplacé par des éoliennes produisant quelque 6 MW d’électricité. Avec le prix de ces équipements qui diminue sans cesse et l’expertise que le Québec a développé au fil des ans, cette technologie devrait contribuer sensiblement à la réduction des couts, donc à l’augmentation des profits de la Société d’État. Il ne faudrait pas non plus négliger l’énergie solaire et les hydroliennes.
Tout ceci évidemment vient aider le Québec à réduire ses GES. Il faut donc en comprendre que le gouvernement connaissait ces projets intimement lorsqu’il a choisi de réduire ses GES plus que n’importe quelle autre juridiction des alentours.
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