n.d.l.r. : Cette information est tirée d’un site internet de la Ville de Montréal, qu’on peut voir en cliquant ici. N’en déplaise à Stephen Harper, les recherches scientifiques permettent au monde d’évoluer, sans qu’on ait à retourner à la création du monde… Cette technologie pourrait être d’un grand recours principalement dans le traitement des eaux usées.
Des chercheurs de l’université de Californie à Santa Barbara ont trouvé un moyen de conférer aux bactéries non électrogènes la capacité de produire de l’électricité. Pour réaliser cette prouesse, ils ont créé une molécule appelée DFSO+, contenant un atome de fer à son noyau, et l’ont introduit dans la bactérie. En quelques minutes, la molécule synthétique trouve sa place dans les membranes cellulaires des bactéries et commence à conduire le courant à travers son noyau de fer. À terme, cette innovation pourrait être appliquée pour produire de l’électricité durable et pour le traitement des eaux usées.
Pour en savoir davantage sur l’étude, voir l’article en anglais en cliquant ici.
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