C’est une chose d’étudier et de comprendre les disciplines du génie, mais c’en est une autre de vulgariser au grand public des notions complexes consignées dans une thèse de doctorat. La doctorante en génie électrique et en génie informatique, Élodie Nguena, a réussi ce tour de force à deux reprises en remportant la finale locale et nationale du concours Ma thèse en 180 secondes, décrochant à chaque occasion le prix du public.
Élodie a su vulgariser avec dynamisme et humour – en faisant le lien avec le film Terminator –, mais surtout dans les temps, son projet de thèse de doctorat qui explore la réduction des déchets électroniques en usine. Le titre de sa thèse: Fragilisation par gallium liquide des brasures à base d’étain pour la reprise de puces microélectroniques à interconnexions à pas fins. (Pour voir Élodie Nguena à l’œuvre lors de sa présentation orale.
Grâce à la prestation de Mme Nguena, l’Université de Sherbrooke remporte pour une deuxième année consécutive la finale de ce concours, qui se concluait lors du 87e congrès de l’Association francophone pour le savoir (ACFAS).
Élodie Nguena décroche pour sa part une place à la finale internationale du concours qui aura lieu à la fin septembre à Dakar, au Sénégal.
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