Plusieurs détaillants affiliés à Lowe’s-RONA quittent la bannière
À la fin septembre, déjà une douzaine de quincailliers RONA du Québec avaient déserté la bannière jadis chouchou des Québécoises et Québécois pour trouver une meilleure protection chez des anciens concurrents, selon des spécialistes du commerce de détail. La majorité des « déserteurs » mécontents ont négocié de nouvelles ententes de partenariat avec des chaines 100 % québécoises comme BMR et la Coop fédérée.
Selon des propos rapportés dans les médias, la haute direction n’aurait pas vraiment tenté de les empêcher de quitter le navire et le mouvement pourrait prendre de l’ampleur.
Les observateurs du monde du commerce de détail ne sont pas surpris par la débâcle puisque le modèle d’affaires de Lowe’s exploite des magasins corporatifs grandes surfaces en milieu urbain, alors que RONA a plusieurs centaines de magasins de toutes tailles en région. Ces petites et moyennes surfaces appartiennent à des marchands affiliés. Ce sont ces derniers qui quittent actuellement le navire.
- Lowe’s a acheté RONA pour 2,3 milliards $ US en 2016;
- EN 2019, Lowe’s a dévalué de 1,25 milliard $ CA son investissement canadien;
- RONA représentait un réseau de 400 magasins au Canada (200 au Québec), dont plus de la moitié étaient des affiliés.
Le forum CIRANO – ADRIQ-RCTi aura lieu le 6 février
C’est sous le thème La formation et l’accompagnement comme moteurs de la transformation numérique des entreprises québécoises que se déroulera le prochain forum CIRANO – ACRIQ-RCTI, le 6 février au Palais des congrès de Montréal.
L’évènement est une opportunité d’échanger sur le développement des compétences, les enjeux de formation en entreprise, ainsi que les mesures d’aide, modalités d’accompagnement et facteurs favorisant la transformation numérique des entreprises.
Au moment de mettre en ligne, le programme de la journée n’était pas encore connu. Toutefois, les inscriptions sont ouvertes.
Doug Ford ne veut pas acheter plus d’électricité du Québec
Le premier ministre de l’Ontario continue de faire la sourde oreille aux appels du premier ministre québécois, François Legault, qui tente de lui vendre les surplus de production d’Hydro-Québec.
Pour expliquer son nouveau refus, Doug Ford souligne que l’Ontario n’a pas besoin de l’électricité québécoise puisque sa province est aussi en situation de surplus énergétiques.
Le Québec et l’Ontario échangent de l’électricité lors de périodes de pointe depuis 2014. L’entente signée à l’époque a été reconduite en 2016 alors que les libéraux étaient au pouvoir dans les deux provinces. Élu en 2018, le conservateur Doug Ford a annoncé que son gouvernement investira plutôt dans la construction de petites centrales nucléaires, créant ainsi de l’emploi dans sa province.
Lunch-éclair IES: une première au centre-ville de Montréal
Après dix ans à présenter ses conférences-midi à ville Saint-Laurent, la section montréalaise de la Illuminating Engeneering Society (IES) a déplacé son activité du 19 novembre au centre-ville de Montréal. Une bonne cinquantaine de personnes se sont déplacées à l’hôtel Intercontinental de Montréal pour assister à la conférence de Tom Buttler, directeur du volet éducation de l’IES-NA (IES Amérique du Nord).
Très inspiré par le sujet, l’orateur a parlé pendant plus d’une heure sur le thème L’éclairage et le cycle circadien avec, comme sous-thème: Qui dit quoi? Et quels sont ses effets sur l’architecture, l’éclairage et la décoration intérieure?
Cela faisait longtemps que plusieurs membres de l’organisation réclamaient la tenue d’au moins un diner par année au centre-ville. Leur présence en grand nombre n’est pas passée inaperçue et pourrait amener les organisateurs des conférences-midi à exaucer leur vœu.
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