CanWEA

Les associations des énergies solaire et éolienne se regroupent

12 mars 2020 Par : Catherine Crépeau, à partir d'un communiqué

Les associations qui font la promotion des énergies solaire et éolienne au pays uniront leurs destinées à compter du 1^er juillet 2020.

Les délégués votants des membres de toutes les catégories de l’Association canadienne de l’énergie éolienne (CanWEA) et de l’Association des industries solaires du Canada (CanSIA) ont voté sur le regroupement de celles-ci en une seule association multitechnologique vouée à l’énergie éolienne, à l’énergie solaire et au stockage d’énergie. Le vote s’est déroulé lors de deux assemblées extraordinaires distinctes, à Toronto, en novembre dernier.

Plus des deux tiers des membres de chacune des catégories des deux associations ont appuyé le regroupement.

La première assemblée générale annuelle de la nouvelle association aura lieu quatre mois après sa création officielle, lors du premier congrès et salon professionnel sur l’énergie renouvelable Transition électrique Canada présenté à Toronto du 10 au 12 novembre 2020.

«Le regroupement renforcera considérablement la proposition de valeur présentée aux membres des deux associations pour les appuyer dans le développement de solutions complètes et défendre d’une voix forte le déploiement accru des technologies d’énergie solaire, d’énergie éolienne et de stockage d’énergie partout au Canada», précise dans un communiqué Wes Johnston, président et chef de la direction de l’Association des industries solaires du Canada.

La CanWEA tiendra son colloque à Montréal en avril

13 février 2020 Par : Éric Messier

L’Association canadienne de l’énergie éolienne (CanWEA) tiendra son colloque du printemps les 27 et 28 avril au Centre Mont-Royal, à Montréal.

Experts et leaders d’opinion de partout au pays transmettront leurs connaissances et leurs perspectives sur la participation des Autochtones dans les projets d’éolienne, l’évolution des marchés, des technologies, et des modèles et occasions d’affaires. Le programme détaillé sera dévoilé en mars sur le site de CanWEA.

L’Association soutient que l’énergie éolienne jouera, dans les décennies à venir, un rôle essentiel dans l’acheminement d’une source d’électricité propre, fiable, abordable et flexible à tous les Canadiens.

Les exposants peuvent s’inscrire en cliquant ici. On peut aussi consulter les frais de commandites en cliquant ici. Enfin, on peut survoler le blogue de CanWEA.

Le saviez-vous?

Plus de 51 GW de puissance éolienne a été mis en service en 2018 dans le monde, pour un total cumulatif de 591 GW;
Plus de 300 GW de puissance devraient être installés au cours des cinq prochaines années, soit plus de 55 GW annuellement jusqu’en 2023;
Les Amériques ont installé 11,9 GW de puissance éolienne en 2018, une hausse de 12 % par rapport à l’année précédente;
Au Canada et aux États-Unis, les mises en service ont augmenté de 10,8 % comparativement à 2017 et l’industrie éolienne contribue à plus de 160 000 emplois;
Parmi les huit principaux marchés éoliens figurent la Chine (21,2 GW), les États-Unis (7,6 GW), l’Allemagne (2,4 GW), l’Inde (2,2 GW), le Brésil (1,9 GW) et le Canada (1,2 GW);

Pour voir où se situe le Canada en matière d’énergie éolienne, visitez la page de CanWEA sur les marchés éoliens.

Éoliennes en rafale

11 décembre 2019 Par : Jean-François Lacerte

Nergica ajoute un Lidar 3D à ses équipements de recherche

Le centre québécois de recherche appliquée en matière d’énergie renouvelable Nergica vient d’ajouter un Lidar 3D à ses infrastructures de recherche par télédétection par laser sur l’impact du climat sur la production d’énergie éolienne.

Le mot Lidar est un acronyme de l’expression anglaise « light detection and ranging » ou « laser detection and ranging », traduit en français par « détection et estimation de la distance par la lumière » ou « par laser ».

Il s’agit d’une technique de mesure à distance fondée sur l’analyse des propriétés d’un faisceau de lumière renvoyé vers son émetteur. Le lidar utilise la lumière du spectre visible, infrarouge ou ultraviolet, qui est presque toujours issue d’un laser. L’appareil de très grande précision a des applications multiples en météorologie, pour les microréseaux et la gestion des éoliennes.

CanWEA récompense l’Alliance éolienne de l’Est et le parc Nicolas-Riou

L’Association canadienne de l’énergie éolienne (CanWEA) a remis deux de ses sept prix d’excellence à l’Alliance éolienne de l’Est et au parc éolien Nicolas-Riou pour leur leadership et leur savoir-faire dans l’industrie de l’énergie éolienne.

Les partenaires de l’Alliance éolienne ont reçu le Prix du leadership collectif, pour leur partenariat, ainsi que le Prix du projet éolien 2019 pour le développement du parc Nicolas-Riou. La première distinction vise à mettre en valeur la contribution du consortium à l’avancement de l’éolien au Canada, alors que la seconde souligne son engagement à l’égard du développement durable et responsable lors de la mise en place du parc Nicolas-Riou.

L’Alliance éolienne de l’Est regroupe deux régions administratives, plus de treize MRC et cent cinquante municipalités ainsi que la Première Nation Malécite de Viger. En 2014, elle a travaillé avec six promoteurs pour répondre à un appel d’offres d’Hydro-Québec Distribution, ce qui a mené à l’aménagement de deux parcs éoliens communautaires, dont le parc Nicolas-Riou.

Situé au nord-est de Rivière-du-Loup, le parc éolien Nicolas‑Riou est l’aboutissement d’un partenariat entre EDF Renouvelables et les régies intermunicipales de l’énergie Bas-Saint-Laurent (RIEBSL) et Gaspésie Îles-de-la-Madeleine (RIEGÎM). C’est le plus grand parc éolien détenu à 50 % par la collectivité en Amérique du Nord. Son développement et sa construction ont demandé un investissement de 500 millions de dollars.

Le prochain congrès de CanWEA, qui aura lien à Toronto du 10 au 12 novembre 2020, élargira ses horizons aux autres énergies renouvelables en accueillant l’Association des industries solaires du Canada et Hannover Fairs: Transition électrique Canada. Cette nouvelle orientation reflète le fait que les solutions les plus économiques, les plus fiables, les plus flexibles et les plus écologiques reposeront de plus en plus sur la coordination de diverses technologies de stockage et de production d’énergie renouvelable.

Nergica étudie l’impact de la glace sur les parcs éoliens

Quels sont les effets de la glace et de la neige sur la structure, l’efficacité et la rentabilité des éoliennes? Des chercheurs du Centre de recherche et innovation en énergies renouvelables de Nergica étudient la question et présentait leurs travaux au congrès de CanWEA, en octobre à Calgary.

L’équipe de Nergica a notamment présenté la méthode d’évaluation des systèmes de protection contre le givre Ice Production Ratio (IPR) qu’elle a mise au point et utilisé évaluer le système de dégivrage d’ENERCON. L’IPR permet d’estimer l’efficacité d’un système opérant dans le givre en étudiant, entre autres, les couts et les pertes de revenus générés par la présence de glace sur les structures éoliennes.

À terme, le Centre espère que sa méthode devienne la nouvelle norme de l’industrie, ce qui permettrait à toute l’industrie de parler le même langage, notamment lorsque vient le temps d’acheter des systèmes de dégivrage. Cette uniformisation assurerait aussi que l’efficacité des systèmes est mesurée selon des critères et paramètres communs. (Lire le résumé de la présentation.)

Une autre équipe a présenté les résultats d’un projet mené en partenariat avec RES Canada. Les chercheurs veulent améliorer la qualité des évaluations de la ressource (vent, givre, énergie éolienne) en phase de préconstruction. Nergica cherche ainsi à modéliser le climat pour plusieurs dizaines d’années afin de pouvoir caractériser le vent et le givre en fonction de plusieurs facteurs précis. (Lire le résumé de la présentation.)

Enfin, la délégation de Nergica a profité de sa présente au congrès 2019 de CanWEA pour dévoiler des résultats préliminaires d’une étude sur l’impact des changements climatiques sur l’éolien.

Sommet CanWEA sur l’opération et la maintenance: en mode solution

10 septembre 2019 Par : Jean-François Lacerte, à partir d'un communiqué

Le prochain sommet sur l’opération et la maintenance de l’Association canadienne de l’énergie éolienne (CanWEA) aura lieu les 29 et 30 janvier 2020 au Hilton Mississauga/Meadowvale sous le thème «En mode solution».

Le programme de l’évènement se concentre sur les sujets spécifiquement liés aux opérations améliorées dans les divers parcs éoliens du pays. Les conférenciers prendront aussi de front les problématiques auxquelles fait face l’industrie et chercheront d’abord à présenter des solutions efficaces. Les questions de la santé et sécurité et de la formation professionnelle seront aussi abordées tout au long du Sommet.

Le sommet sur l’opération et la maintenance de CanWEA est réputé comme étant le plus important évènement annuel du genre au Canada. Plus de 300 spécialistes et deux douzaines d’exposants sont attendus.

Les congressistes qui s’inscrivent avant le 31 octobre 2019 bénéficient d’un rabais. Les inscriptions peuvent se faire en ligne sur le site de CanWEA.

Éoliennes en rafale

13 aout 2019 Par : Jean-François Lacerte

La construction du parc éolien des Iles débutera en septembre

Après des années d’études et d’hésitations, suivis d’obstacles de logistique, la construction du parc éolien des Iles-de-la-Madeleine débutera en septembre prochain dans le secteur de la Dune-du-Nord.

Cette construction de deux éoliennes, qui devait débuter en juin dernier, pourra être opérationnelle dès la fin du printemps 2020. La puissance autorisée par le gouvernement est de 6,4 mégawatts.

La Régie de l’énergie du Québec (RÉQ) a approuvé ce contrat d’approvisionnement en octobre 2018. Elle a surtout tenu compte des impacts positifs pour la communauté madelinoise, de l’amélioration du bilan environnemental aux Iles-de-la-Madeleine ainsi que de l’acceptabilité sociale du projet.

Le projet avait été jugé acceptable sur le plan environnemental par le Bureau d’audience publique sur l’environnement (BAPE), autant en vertu de la Loi sur les espèces menacées ou vulnérables que de la Loi sur la qualité de l’environnement.

Le parc éolien de la Dune-du-Nord est le premier en réseau isolé au Québec qui soit aussi véritablement issu de sa communauté hôte. Il réduira la dépendance des Iles-de-la-Madeleine aux hydrocarbures. Elle fera économiser environ 10 %, soit environ 400 000 litres, du mazout lourd consommé annuellement par la centrale thermique de Cap-aux-Meules. Du même coup, elle réduira d’environ 13 % les émissions annuelles de gaz à effet de serre de la centrale.

Les retombées économiques du parc sont évaluées à 275 000 $ par an. Une somme qui sera versée dans le fonds de la Régie intermunicipale de l’énergie Gaspésie-Iles-de-la-Madeleine. La Régie fait partie de la société en commandite qui mène le projet, aux côtés de Plan A Infrastructure et de Valeco Énergie Québec.

Calgary accueillera le plus grand congrès sur l’énergie éolienne

La ville de Calgary et la province de l’Alberta, surtout réputée pour sa production d’hydrocarbures lourds, organisent le premier congrès sur l’énergie éolienne au Canada, du 8 au 10 octobre prochains.

L’évènement qui prévoit accueillir 1200 acteurs de l’industrie canadienne et mondiale se tiendra en même temps que le 35^e congrès annuel et salon professionnel de l’Association canadienne de l’énergie éolienne (CanWEA) où une centaine d’exposants présenteront leurs produits et services.

Pendant trois jours, des dizaines conférenciers se succèderont afin de parler de l’industrie de l’énergie éolienne et de ses possibilités de débouchés. Des assemblées plénières auront aussi lieu.

Le formulaire d’inscription est disponible en ligne.

CanWEA encourage la formation des technicien en éoliennes

L’usage de l’électricité éolienne étant voué à un avenir très prometteur, sa croissance fulgurante aura des répercussions positives sur l’emploi au Canada. C’est dans cette optique que l’Association canadienne de l’énergie éolienne (CanWEA) encourage la formation de techniciens compétents afin que «le Canada tire pleinement parti de son abondant potentiel éolien pour bâtir un avenir plus vert et plus fort.»

CanWEA a publié au printemps le guide Opération et maintenance de parcs éoliens: Compétences fondamentales des techniciens en éoliennes (à télécharger sur leur site) qui détaille, en 25 pages, les compétences de base suggérées pour quiconque souhaite se lancer dans une carrière de technicien en éoliennes. Parmi les besoins en main d’œuvre identifiés dans les parcs éoliens, on retient:

Technicien en éoliennes – Compétences électriques et mécaniques
Électricien – Haute et basse tension
Supervision/gestion – Un ou plusieurs sites éoliens
Administration/Logistique/Conformité – Administration générale, chaîne d’approvisionnement, entrepôt, respect des règlements, etc.
Prévisions/Répartition – Prévisions relatives à la force du vent et gestion de la répartition sur le réseau
Remplacement des principaux composants – Fabricant ou fournisseur de services indépendant pour les réparations importantes, par exemple le remplacement de boîte de vitesses
Technicien spécialisé en pales/matériaux composites – Spécialisation dans les réparations en hauteur de composants en fibre de verre et en fibre de carbone
Génie électrique ou de projet
Réhabilitation des terrains – Remise en état des plantations, de la végétation, des routes, etc.

L’éolien a le vent en poupe

14 mars 2019 Par : Karine Limoges

L’industrie éolienne a inauguré six parcs éoliens au Canada en 2018, ce qui lui a permis de générer près de 13 000 MW de puissance éolienne au pays, soit l’équivalent nécessaire pour alimenter 3,3 millions de foyers, rapporte l’Association canadienne de l’énergie éolienne (CanWEA), dans son bilan annuel. Avec un prix médian de 42 $US/MWh, l’éolien remporte la palme de l’énergie la plus abordable, toutes sources d’énergie confondues, selon l’analyse de la firme Lazard, Levelized cost of energy.

Les six nouveaux parcs érigés au Québec, en Ontario et au Nouveau-Brunswick ajoutent 566 MW de puissance installée au pays. Ils ont généré 1 G$ d’investissements et ont permis de maintenir une croissance annuelle moyenne de 20 % de la filière éolienne depuis dix ans. Le Canada compte aujourd’hui 299 parcs éoliens où tournent 6596 éoliennes.

La plus grande part de la puissance éolienne se répartie entre le Québec et l’Ontario, qui possèdent respectivement 30 % et 40 % de l’énergie éolienne produite.

Les deux parcs éoliens inaugurés au Québec en 2018 sont le projet Mont Sainte-Marguerite, qui compte 46 éoliennes de 147,2 MW de puissance, et le projet Nicolas-Riou. Avec ses 65 éoliennes d’une puissance de 224,25 MW, ce dernier est le plus important parc éolien entré en service en 2018. Ces parcs éoliens faisaient partie du 4^e appel d’offres d’Hydro-Québec Distribution, qui achète cette électricité au cout de 66 $/MWh et de 73,7 $/MWh.

CanWEA estime qu’en 2019, la mise en service d’installations ajouteront 1000 MW de nouvelle puissance éolienne. Le Québec attend la mise en service des projets Éoliennes Belle-Rivière au Lac-Saint-Jean, Saint-Cyprien en Montérégie et la Dune-du-Nord aux Îles-de-la-Madeleine. Ces parcs éoliens ajouteraient 48,7 MW de puissance, comparativement à la hausse de 371,6 MW connue en 2018.

Prix moyen de 40,50 $/MWh

Après avoir atteint un prix plancher historique de 37 $/MWh en moyenne à la fin 2017, les prix accordés aux nouveaux contrats éoliens en 2018 ont évolué autour de 40,50 $/MWh. Par exemple, en Saskatchewan et en Alberta, les prix moyens proposés étaient de 42 $ et 39 $/MWh. Les prix de l’énergie éolienne ont chuté de 69 % en neuf ans, entre 2009 et 2018, mais pas autant que ceux de l’énergie solaire, qui ont diminué de 88 % pour la même période, indique la firme Lazard.

Notons que le prix médian du solaire photovoltaïque se rapproche de celui de l’éolien, avec 43 $US/MWh. Par ailleurs, mentionnons que l’analyse de Lazard ne tient pas compte de l’énergie hydroélectrique, se comparant plutôt au solaire, à l’hydrogène, au géothermique ainsi qu’aux formes d’énergie traditionnelles comme le gaz naturel, le nucléaire et le charbon. À titre comparatif, le cout des contrats d’approvisionnement d’Hydro-Québec Distribution auprès des petites centrales hydroélectriques est en moyenne de 90 $/MWh.

(Pour consulter l’analyse Levelized cost of energy.)

L’industrie éolienne jase de l’Ouest canadien et de la Nouvelle-Angleterre

12 octobre 2017 Par : Karine Limoges, à partir d’un communiqué

Les marchés de l’Ouest canadien et de la Nouvelle-Angleterre ont particulièrement retenu l’attention des neuf entreprises de la délégation québécoise chapeautées par le TechnoCentre éolien, du 3 au 5 octobre, lors du 33^e Congrès annuel de l’Association canadienne de l’énergie éolienne (CanWEA). Les participants ont ainsi profité de leur saut à Montréal pour effectuer du maillage d’affaires et développer des occasions d’exportation.

Rappelons que les provinces de l’Alberta et de la Saskatchewan courtisent actuellement les développeurs de parcs éoliens pour s’approvisionner de 6 900 MW d’énergie propre d’ici 2030, s’ajoutant à la puissance déjà installée. D’autre part, les yeux sont tournés vers les états du Massachusetts et de New York, qui ont dernièrement ouvert des appels d’offres pour aller chercher de l’énergie de source renouvelable. Dans la première, nous savons déjà que les joueurs québécois ou ayant des activités au Québec ont déposé des projets de l’ordre de 2 929 MW, dont 1 902 MW pourraient être produits au Québec.

Les entreprises éoliennes qui se sont jointes à la délégation sont Suspendem, Opsis, Groupe LD, Caninno, Le Groupe Ohméga, PESCA Environnement, Fabrication Delta, Collineo et Techéol. « Ces entreprises se distinguent par leur capacité à innover et par la qualité des produits et des services qu’elles offrent. Elles ont tous les atouts nécessaires pour s’imposer sur les marchés d’exportation d’autres provinces canadiennes et des États-Unis », a souligné Frédéric Côté, directeur général du TechnoCentre éolien et vice-président du Créneau d’excellence en éolien.

Le TechnoCentre éolien accompagne ces entreprises dans le démarchage pour trouver des clients potentiels en organisant notamment des rendez-vous d’affaires privés personnalisés. Ce service fort apprécié, selon M. Côté, aurait permis à plusieurs entreprises, au fil des ans, d’augmenter leurs ventes à l’extérieur du Québec. Outre les rendez-vous d’affaires, les entreprises ont de plus bénéficié d’une visibilité accrue en logeant au stand de la délégation du TechnoCentre, sous lequel une zone de rencontre B2B (Business to business) avait été aménagée.

Ces trois dernières années, le TechnoCentre éolien a facilité le réseautage de 40 entreprises et a orchestré 386 rencontres d’affaires pour ses délégations aux Congrès annuels de CanWEA. L’organisme évalue les retombées économiques de ces missions à plus de 13,5 M$.

La photo en introduction montre une partie de la délégation québécoise au 33e Congrès annuel de l’Association canadienne de l’énergie éolienne (CanWEA). De g. à dr., Charles Godreau (TechnoCentre éolien), Jean-Sébastien Guillemette (Le Groupe Ohméga), Carl Bolduc (Techéol), Martin Boulay (Le Groupe Ohméga), Nancy Ste-Croix (Le Groupe Ohméga), Marilys Clément (TechnoCentre éolien), Éric Trudel (Techéol), Monica Normand (TechnoCentre éolien), Cédric Arbez (TechnoCentre éolien), Joël Cloutier (Le Groupe Ohméga), Frédéric Côté (TechnoCentre éolien), Matthew Wadham-Gagnon (TechnoCentre éolien), Christian Patenaude (Opsis), Simon-Philippe Breton (TechnoCentre éolien).