Le projet si cher à Mme Marois, qui devait embaucher éventuellement jusqu’à 600 personnes à Bécancour, RER Hydro, est plus qu’en eaux troubles, il peine à garder la tête au-dessus de l’eau. La Cour Supérieure lui a accordé un sursis inespéré à la fin d’aout, mais il lui faudra faire vite pour obtenir des investissements de plusieurs millions pour qu’il finisse par voir le jour – voir l’article de La Presse
Alors que le projet semblait « bien ficelé » en novembre dernier (voir le texte du Magazine), voici que le projet sous sa forme actuelle semble vouloir sombrer, car si on ne trouve pas les millions nécessaires avant la fin de septembre, ce sera la faillite. Pourtant, le gouvernement Marois y a investi des millions et des millions, et Boeing s’est embarquée à fond de train. D’ailleurs, les yeux se tourneront certainement vers cette multinationale pour prendre la relève… ce qui ne veut pas dire que le projet continuerait d’exister à Bécancour.
Bien triste à la fois pour cette technologie si prometteuse pour le Québec et pour le Centre-du-Québec, dont l’économie a besoin d’une bonne dose d’oxygène.