Plus d’ancrages verticaux sur les tours, des ancrages mieux adaptés aux montées et aux descentes, des harnais plus évolués et mieux conçus. Les équipements de protection contre les chutes ont été grandement améliorés dans les dernières années, tout comme les formations qui explorent de manière plus approfondie les risques et techniques d’ascension. C’est ce que rappelle l’édition printanière du magazine Prévention au travail dans un reportage sur le métier risqué de monteur de ligne.
Le reportage traite, entre autres, des précautions à prendre pour échapper aux électrocutions et aux ondes radioélectriques, ainsi que des risques liés à la température – froide ou chaude – et à la fatigue, car le travail en hauteur peut durer de longues heures. Le facteur de risque premier demeure toutefois les chutes.
Les formations sur les protocoles de sécurité, innovations techniques et de sauvetage en hauteur s’avèrent nécessaires pour ces travailleurs, qui devraient les suivre en continu, afin de ne pas perdre les acquis. Sur le terrain, pour contrer les risques, les employeurs se servent par exemple de drones ou de robots-inspecteurs, comme le Line Ranger, un prototype dévoilé par Hydro-Québec l’an dernier.
Lisez le reportage Équilibrer le risque entre ciel et terre du magazine Prévention au travail (pages 32 et 33).