Élodie Nguena, doctorante en génie à l’Université de Sherbrooke, s’est rendue à Dakar pour participer, le 26 septembre dernier, à la sixième finale internationale du concours de vulgarisation et d’éloquence Ma thèse en 180 secondes. Malheureusement, elle n’aura pas réussi à s’imposer parmi les 18 finalistes.
Élodie Nguena a gagné sa place à Dakar après avoir remporté le volet québécois et la finale nationale du concours présentée lors du 87e congrès de l’Association francophone pour le savoir (ACFAS).
Son projet de thèse de doctorat explore la réduction des déchets électroniques en usine sous le titre Fragilisation par gallium liquide des brasures à base d’étain pour la reprise de puces microélectroniques à interconnexions à pas fins. On peut revoir sa prestation en cliquant ici.
À Dakar, 18 finalistes doctorants provenant de partout dans le monde ont fait valoir leur talent d’orateur pour épater impressionner le jury. Le premier prix a été attribué à Natacha Delrez, de l’Université de Liège (Belgique) avec sa thèse Infection of European eel (Anguilla Anguilla) by Anguillid herpesvirus 1: from basic research to conservation programs.
Tianarilalaina Tantely Andriamampianina, de l’Université de Mahajanga (Madagascar) a pris la seconde place en présentant sa thèse Cladogelonium madagascariense: Anti-inflammatoire. Le troisième prix est allé à Tom Mébarki, de Aix-Marseille Université (France) avec sa thèse La “folie organisée” dans l’opéra buffa rossinien. Vers une transhistoire du son.
La prochaine finale internationale se tiendra en septembre 2020 à Paris.