Avec tout près de 3000 articles présentement en ligne, Électricité Plus entreprend sa l0e année de publication. Le tout premier article vedette de la version électronique du magazine, le 1er février 2012, fut l’acquisition de Thomas & Betts par ABB. Nous étions à moins d’une heure de la mise en ligne de cette première édition, tout était ficelé, lorsque l’information nous est parvenue, nous conduisant à retarder d’une heure la mise en ligne, le temps de vérifier avec une deuxième source l’exactitude de la nouvelle. On peut d’ailleurs accéder à cet article en cliquant ici.
L’évolution du magazine s’est faite au fil des suggestions de la part des internautes et des annonceurs, grâce à la complicité d’une équipe à l’information, au graphisme et à la programmation. Au début, plus de 10 000 internautes avaient été avisés par courriel de la transition de l’édition papier vers l’électronique; déception, car environ 3500 personnes seulement s’abonnent.
Bien que de nombreux chantres propageaient alors l’idée que le papier n’était plus de mise et que c’est via internet que les gens s’informaient le plus, le constat était qu’il fallait être patient. C’était aussi la révélation que les chiffres de lectorat diffusés par les éditeurs de publications imprimées comme par internet sont parfois loin de la réalité. Heureusement, les publications en ligne sont aujourd’hui scrutées à la loupe et au jour de la rédaction du présent texte, Google Analytics confirme que 16 776 personnes différentes ont consulté le magazine au cours des 30 derniers jours, pour une lecture de 27 764 pages.
Au cours des huit premières années, Électricité Plus a publié en moyenne 16 éditions par année. L’année 2020 ayant connu une pandémie sans précédent, il y a quand même eu 12 parutions, soit une chaque mois, sans exception. L’équipe éditoriale fonctionne en télétravail et bien que Zoom et les autres applications du genre soient très utiles, les entrevues sont sérieusement plus difficiles à réaliser.
Reste que l’équipe à l’information est à l’affut de l’actualité dans l’industrie électrique, de l’éclairage, de l’automatisation et des technologies en développement liées à l’électricité. Surtout, c’est grâce aux signalements de la part des internautes et à leurs besoins d’information que la direction peut orienter sa grille éditoriale; elle leur adresse d’ailleurs ses remerciements. Toute l’organisation met l’épaule à la roue pour que le magazine paraisse pendant encore de nombreuses années, tant qu’il sera utile aux professionnel.le.s de l’électricité.