John B. Goodenough a contribué à la science jusqu’à tout récemment. Électricité Plus avait publié un article sur lui alors qu’il travaillait sans relâche à l’amélioration de « SA » batterie, alors qu’il avait 94 ans, ce qu’il a réussi, la rendant plus résistante, plus légère et moins dispendieuse. Il a reçu le prix Nobel de chimie à l’âge de 97 ans, devenant le lauréat le plus âgé à recevoir un tel hommage. “Ne prenez pas votre retraite trop tôt !” Goodenough l’a dit à la Fondation Nobel lors de son discours d’acceptation. C’était un conseil qu’il donnait fréquemment et qu’il suivait certainement.
En 2022, en l’honneur de son 100e anniversaire, des scientifiques et des ingénieurs des communautés mondiales de la science des batteries et de l’état solide se sont réunis sur le campus de l’UT Austin pour un symposium pour partager des histoires sur l’impact de Goodenough et discuter des problèmes difficiles de la physique et de la chimie de la matière condensée.
Expérience et créativité pendant plus de sept décennies. Pendant tout ce temps, il était marié à Irene Wiseman. N’ayant pas d’héritier, c’est la University of Texas qui recevait les bourses qu’il remportait, puis il a mis sur pied deux fondations pour soutenir les étudiant∙e·s diplômé∙e·s en génie ainsi que les chercheurs et chercheuses.
On pourrait parler de lui pendant de longues pages, mais on peut plus simplement consulter l’hommage que lui rend University of Texas. En arrivant sur cette page, Google translate offre une excellente version française.