
Projet de cargo électrifié aux Pays-Bas et en Belgique
La compagnie allemande Port-Liner a développé une technologie de bloc-batterie pouvant être logé dans un conteneur. Le lancement de ses deux premiers cargos 100 % électriques pour le transport de marchandises sur le canal Wilhelmine aux Pays-Bas aura lieu dès l’automne prochain, rapporte le site Web Eletrek.
Le projet de 100 M d’euros est financé à hauteur de 7 M d’euros par l’Union européenne, qui espère voir un impact significatif sur le transport local de marchandises entre Anvers, en Belgique, Amsterdam et Rotterdam, aux Pays-Bas. Ces barges électriques détiennent la capacité de transporter 280 conteneurs de 20 pieds. Selon les estimations, six cargos électriques élimineraient des routes 23 000 camions annuellement.
« Cette technologie nous offre la possibilité de moderniser les cargos existants, et la recharge des conteneurs se ferait sur terre avec le fournisseur d’énergie propre Eneco, qui utilise des sources d’énergies renouvelables, dont solaire et l’éolien », a expliqué le directeur général de Port-Liner, Ton van Meegen.
Un tel projet n’est pas le premier à voir le jour, rappelle Eletrek, qui avait annoncé des projets de transport maritime électriques similaires en Chine ainsi qu’en Suisse et au Danemark, en 2017.
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Nissan investit 12 G$ en Chine dans la course au tout-électrique
Le constructeur automobile nippon, Nissan, et sa coentreprise locale, Dongfeng Motor en Chine, investiront 12 G$ jusqu’en 2020 afin de développer 20 modèles électriques au cours des cinq prochaines années. Selon La Presse, les voitures électriques de Nissan représenteront 30 % des ventes en Chine d’ici 2022.
Le président de Dongfeng, Jun Seki, l’a annoncé sans détour : « Notre offensive dans le marché du véhicule électrique commence à partir de 2018 », lors d’une conférence de presse à Beijing. Même le président de Ford, William C. Ford, concédait la victoire à la Chine, peu avant le temps des Fêtes. Il faut dire que la Chine détient une motivation supplémentaire pour effectuer la transition vers l’électromobilité, faisant face à une importante pollution atmosphérique, attribuable à 30 % aux véhicules à essence.
Le pays le plus peuplé du monde souhaite ainsi interdire les véhicules à moteur thermique d’ici 2030, un objectif ambitieux. Pour ce faire, il se faufile en tête de la course au tout-électrique, avec la naissance de plusieurs coentreprises associées à des constructeurs automobiles de renom, dont Ford, Volkswagen et l’alliance Renault-Nissan.
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Le camion Tesla fait des petits
Alors que le camion-remorque de Tesla a été lancé l’automne dernier, plusieurs constructeurs automobiles commencent à s’intéresser au développement de poids lourds électriques. C’est le cas de Volvo Trucks et Renault Trucks, qui ont tous deux annoncé en janvier la commercialisation de camions 100 % électriques dès 2019. Plus près de chez nous, la Compagnie Électrique Lion, qui a fait sa marque dans les autobus scolaires électriques, prévoit pondre un camion urbain électrifié d’ici la fin de l’année, indique Le Journal de Montréal.
En termes d’autonomie du véhicule lourd, les ambitions de Lion sont plus modérées, soit de rouler entre 200 et 250 km par jour, tandis que Tesla met au point un camion pouvant faire un trajet de 1000 km avec une seule charge. Marc Bédard, président de la Compagnie Électrique Lion, vise le marché des camions des éboueurs, camions de services et ambulances, des poids lourds dont le moteur tourne souvent à vide, parce qu’ils sont immobilisés.
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Pour leur part, Volvo Trucks et Renault Trucks, appartenant au Groupe Volvo, ont dans leur mire l’exploitation des camions en zones urbaines et périurbaines. Renault Trucks effectue de la recherche et du développement en électromobilité depuis 2009, et a récolté plusieurs données sur le terrain sur l’usage, le comportement des batteries, les infrastructures de recharge et la maintenance en testant des véhicules lourds 100 % électriques du segment 12-16 tonnes avec divers partenaires et clients.
Rappelons que Renault Trucks a commercialisé le Maxity Électrique, un véhicule électrique de 4,5 tonnes en 2010, ce qui lui a permis de développer très tôt un réseau dans ce secteur, tant du côté de la vente que de la maintenance et de la réparation.
Téo Taxi prévoit agrandir sa flotte à 350 véhicules électriques
Téo Taxi, appartenant à l’homme d’affaires Alexandre Taillefer, profitera d’un nouvel investissement à hauteur de 17 M$ de la part de la Caisse de dépôt et placement du Québec, du Fonds de solidarité FTQ, de Fondaction et du Fonds XPND Capital. L’objectif : acquérir 200 véhicules électriques, ce qui portera sa flotte de taxis à 350, et embaucher 600 chauffeurs et travailleurs de soutien ainsi que 20 professionnels en technologies de l’information et en assurance qualité.
Ce nouveau coup de pouce financier contribuera à accélérer le développement technologique et la mise en place d’un centre opérationnel ultramoderne, en plus d’accroître le réseau de bornes de recharge de Téo Taxi. « Nos partenaires investisseurs renouvellent leur confiance envers Téo Taxi et sa vision de réinventer l’industrie du taxi », a exprimé par communiqué Alexandre Taillefer. Par ailleurs, l’entreprise projette d’atteindre la rentabilité en cours d’année.
L’entreprise Taxelco, derrière Téo, caresse également le projet d’exporter son modèle d’affaires au-delà des frontières montréalaises à partir de 2019, avec la ferme intention de devenir la référence de l’industrie en Amérique du Nord. « Le projet-pilote a permis de valider la demande et tester le modèle d’affaires de Téo Taxi. Ce financement permettra maintenant à l’entreprise d’accélérer sa croissance », a ajouté Normand Chouinard, vice-président sénior Investissement du Fonds de solidarité FTQ.
Réseau de bornes électriques B2B : la Belgique montre l’exemple
Pour accroître l’accessibilité des bornes de recharge de voitures électriques en entreprises, BMW, Renault et Engie s’unissent pour créer un réseau de bornes électriques en Belgique, rapporte L’Écho. L’initiative semi-publique, qualifiée de B2B (business to business, ou commerce interentreprises), a été baptisée WE-EV.
Le réseau de bornes s’ouvre ainsi au public, qui compte sur encore peu d’alternatives pour brancher son véhicule électrique, en dehors de la borne à domicile, chez l’employeur ou encore dans l’espace public où l’offre demeure restreinte. Les trois partenaires vont recruter des entreprises pour faire partie du réseau, et les employés de ces entreprises membres pourront profiter des infrastructures de recharge de WE-EV.
Dans ce pays francophone d’une population d’à peine 25 % plus importante que le Québec, les automobilistes verts profiterait de 500 points de recharge installés d’ici 2018. L’objectif d’Engie serait d’atteindre une borne de recharge à l’intérieur de 15 km², l’équivalent de 2 000 bornes dans l’enceinte de 1 000 entreprises.
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Véhicule à l’hydrogène en conduite autonome : Hyundai réussit une première mondiale
Le constructeur automobile coréen Hyundai a été le premier au monde à réaliser une promenade de 190 km à bord d’un véhicule électrique à hydrogène en conduite autonome de niveau 4, c’est-à-dire avec un système de conduite automatisé qui ne requiert pas d’intervention humaine.
Profitant du fait que les yeux étaient tournés vers les Jeux olympiques de Pyeongchang en Corée du Sud, en février, Hyundai a démontré son savoir-faire en mobilité électrique en organisant un essai routier entre Séoul et Pyeongchang. L’essai routier a été effectué par trois VUS Hyundai NEXO et deux Genesis G80 autonomes, toutes les cinq équipées d’une technologie réseau 5G, en plus d’une autonomie de niveau 4.
Selon la classification établie par la SAE International, le niveau 4 de l’automatisation automobile permet au conducteur de détourner son attention de la route, il peut quitter son siège et même s’endormir à bord. Le véhicule est capable de s’immobiliser de façon sécuritaire tandis que l’être humain peut prendre le volant seulement dans des zones délimitées par géorepérage ou en circonstances particulières, par exemple lorsqu’il y a un bouchon de circulation.
À ce jour, les essais routiers avec une voiture autonome avaient été restreints à une vitesse limite et forcés de rouler sur des portions de routes nationales.
Hyundai souhaite commercialiser ses véhicules autonomes d’ici 2021 dans les villes intelligentes. Son premier véhicule entièrement autonome devrait apparaître sur le marché en 2030.
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5 millions de véhicules propres en 2030 : la Californie passe à l’action
Se donnant les moyens de ses ambitions, la Californie a signé un décret prévoyant l’investissement de 2,5 G$ sur huit ans pour atteindre l’objectif de voir rouler sur ses routes 5 millions de voitures vertes dès 2030, rapporte La Presse.
Le plan ambitieux vise l’installation de 250 000 bornes électriques et 200 stations de ravitaillement en hydrogène à partir de 2025. Le gouverneur de la Californie, Jerry Brown, a signé ce décret afin de réduire les émissions de carbone qui émanent du secteur des transports, responsable de 50 % des émissions de gaz à effet de serre de cet État américain.
Notons qu’en 2012, la Californie ambitionnait d’arriver à 1,5 million de véhicules verts en 2025. À sept ans de ce précédent objectif, elle en est aujourd’hui à 350 000 véhicules propres. Actuellement, ces véhicules représentent d’ailleurs 5 % des ventes de nouvelles voitures.
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Réseau intelligent à domicile : Audi teste le Smart Energy Network
Une centrale électrique virtuelle pour la gestion intelligente du réseau afin de créer un équilibre entre l’offre et la demande d’énergie et la prédire en temps réel, c’est en résumé le projet-pilote Smart Energy Network que testent le constructeur automobile allemand Audi et l’entreprise en démarrage suisse Ampard.
L’objectif est de créer un microréseau à l’échelle du domicile relié au réseau électrique, par une interface de communication intégrée à laquelle tous les systèmes sont connectés pour former une usine d’énergie virtuelle, ce qui constitue le réseau intelligent. Ce réseau relie des panneaux photovoltaïques de grandeurs différentes à une unité fixe pour le stockage d’énergie. Le logiciel de contrôle d’Ampard distribue l’énergie solaire de façon intelligente en se basant sur la demande en cours ou planifiée de l’alimentation du véhicule électrique, de la maison entière ou du système de chauffage.
Le dispositif connecté de stockage maison peut ainsi équilibrer le flot d’énergie et stabiliser les fluctuations entre la production et la consommation d’électricité. « Nous envisageons la mobilité électrique dans le contexte d’un système global d’approvisionnement en électricité de plus en plus basé sur les énergies renouvelables, note Dr Hagen Seifert, directeur des concepts de produits durables chez Audi. C’est la première fois que les autoproducteurs d’énergie peuvent nourrir le réseau, à l’échelle du foyer d’un ménage, ce qui aide à équilibrer tout le réseau électrique. »
Les tests ont lieu en simultané en Allemagne et en Suisse, mais le mystère plane sur la durée du projet-pilote ainsi que le nombre de foyers qui participent à l’étude.
Moteurs électriques : découverte cruciale chez Toyota
Toyota aurait percé le mystère qui pourrait substantiellement réduire le cout des moteurs électriques et pallier à la pénurie éventuelle de métaux pour construire ceux-ci. La découverte concerne une technologie permettant de réduire l’utilisation d’un métal de la famille des terres rares utilisé dans la fabrication des moteurs à propulsion électrique, rapporte La Presse.
Les chercheurs ont en effet trouvé deux éléments, le lanthane et le cérium, capables de se substituer au néodyme, principal métal qui constitue actuellement les moteurs à aimant permanent, pour lequel les experts anticipent des pénuries d’approvisionnement dès 2025. Le constructeur automobile japonais estime qu’il a ainsi réussi à changer la composition du moteur, sans qu’il perde sa performance.
La mise en application de cette nouvelle technologie, à l’intérieur d’un moteur électrique, pourrait cependant prendre une décennie.
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Une voiture électrique « recyclable » conçue aux Pays-Bas
Des étudiants de l’Université Eindhoven aux Pays-Bas ont construit Noah, la toute première voiture électrique « circulaire » entièrement recyclable. Comment? Elle a été fabriquée à partir de matériaux biosourcés – de matières premières renouvelables issues de la biomasse – pour faire la promotion de l’économie « circulaire », qui vise la revalorisation de matériaux en fin de vie dans de nouveaux produits, résume le site Web spécialisé Automobile propre.
Le véhicule innovant de deux places loge sous le capot deux moteurs électriques de 15 kW alimentés par six batteries au lithium-ion de 48 V, modulaires et amovibles. La voiture se charge en six heures. Le lithium-ion a été privilégié comme matériau puisque sa technologie permet de recycler environ 95 % de la batterie pour en fabriquer de nouvelles.
Noah est en attente d’homologation pour pouvoir être immatriculée, en vue d’effectuer un tour de l’Europe, en passant par la Belgique et la France, à l’été 2018.
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Le véhicule électrique usagé moins cher aux États-Unis?
Près d’un an après l’entrée en vigueur du projet-pilote offrant un crédit gouvernemental de 4000 $ à l’achat d’un véhicule électrique d’occasion, seules 356 personnes ont profité d’un rabais. Alors que le marché du véhicule électrique usagé semble florissant au Québec, des consommateurs se tourneraient vers les États-Unis pour l’achat d’un véhicule vert où son cout est beaucoup plus abordable, selon Le Journal de Montréal.
De récents acheteurs affirment économiser quelques milliers de dollars en signant l’acquisition d’un véhicule électrique (VÉ) chez nos voisins du sud. En raison d’un fort nombre de VÉ sur le marché d’occasion américain, l’offre pour ce type de véhicule est beaucoup plus importante. Ainsi, les acheteurs québécois économiseraient, même avec le taux de change actuel.
Il faut dire également que l’accès à une subvention provinciale au Québec est restreint par des critères stricts. Celle-ci s’applique uniquement aux véhicules entièrement électriques, et non aux modèles hybrides ou hybrides rechargeables, il faut qu’il soit acheté ou loué auprès d’un concessionnaire automobile ayant un établissement au Québec; qu’il soit immatriculé pour la première fois au Québec et qu’il détienne une garantie d’au moins trois ans ou de 40 000 km.
(Pour obtenir les conditions d’admissibilité au rabais et obtenir la liste des véhicules admissibles, cliquer ici)
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L’État du Maine veut taxer les électromobilistes
Alors que la Californie investit dans les infrastructures de ravitaillement des véhicules électriques et que le Québec offre des subventions à l’achat de ce type de véhicules, l’État du Maine songe plutôt à taxer les automobilistes qui veulent rouler propre, nous apprend Le Journal de Montréal.
Un projet de loi déposé dernièrement pourrait, s’il est adopté, imposer aux conducteurs d’une voiture électrique ou hybride une taxe afin qu’ils contribuent à l’entretien des routes au même titre que les consommateurs d’essence, qui font le plein à la pompe. La proposition législative recommande une taxe annuelle de 250 $ aux propriétaires de voitures électriques et 150 $ aux propriétaires d’un hybride.
Au lieu d’augmenter la taxe à la pompe pour pénaliser l’achat d’énergie fossile, l’état américain punit le conducteur ayant fait un choix écoénergétique. D’autres états américains ont également adopté dans les derniers mois une position similaire, comme la Californie où la motion a gagné par une faible majorité, ou encore comme à Washington, qui taxe les propriétaires de voitures vertes depuis 2013.
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Dyson aspire à développer des véhicules électriques
La marque d’aspirateurs bien connue, Dyson, pourrait bientôt commercialiser une gamme de trois véhicules électriques. Selon Le Journal de Montréal, le fondateur de l’entreprise, James Dyson, investira 3,3 G$ CAN dans l’aventure pour mettre en marché une première voiture électrique en 2020.
Pour y arriver, l’inventeur britannique a mis sur pied une équipe de 400 ingénieurs qui œuvre à ce projet pour lequel est prévu le développement d’une batterie à électrolyte solide ainsi que la conception des véhicules. M. Dyson a affirmé aux journalistes qu’il planche en secret sur le projet depuis deux ans et demi.
Peu d’informations ont filtré jusqu’à maintenant sur les spécificités des véhicules à naître, ce que M. Dyson tient à garder confidentiel. L’entrepreneur s’enthousiasme pour le développement des véhicules propres, qui pourrait contribuer à réduire le taux de pollution dans l’air, qui fait près de 9 500 victimes à Londres chaque année. D’autre part, le Royaume-Uni prévoit bannir les véhicules à moteur thermique d’ici 2040.
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Montréal vise le déploiement de bornes rapides
Les 400 bornes de recharge pour voitures électriques à Montréal sont utilisées en moyenne 14 fois par mois et elles sont quatre fois plus utilisées qu’à pareille date l’an dernier. L’administration municipale entend maintenir le cap jusqu’à l’atteinte d’un réseau de 1000 bornes, en 2020, mais prévoit privilégier l’implantation de bornes rapides, a dévoilé La Presse.
Selon les statistiques recensées, il s’est effectué 5 700 recharges en décembre 2017, par rapport à 1 400 en janvier 2017 – une hausse qui reflète l’implantation de bornes à travers la métropole, qui a quadruplé en un an. En comparaison, les bornes du Circuit électrique, dont le réseau compte 7 % de bornes rapides, sont utilisées en moyenne 19 fois par mois. Montréal compte à peine 1 % de bornes rapides, dont aucune installée à son initiative, mais elle compte remédier à la situation pour en brancher 16 dès l’automne 2018.
Ces bornes à recharge rapide seront surtout installées dans les stationnements municipaux plutôt que dans les rues.
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L’E-Taxi : de la compétition en vue pour Téo Taxi
L’entreprise montréalaise Téo Taxi devra faire face à une sérieuse concurrence chinoise puisque le fabricant BYD, connu pour l’un de ses actionnaires, le multimilliardaire Warren Buffet, s’installera progressivement dans le marché du taxi, à Montréal. De 25 à 50 véhicules électriques de modèle e6 débarqueront cet automne dans les rues de Montréal, à la recherche de propriétaires intéressés à investir 60 000 $ dans l’achat de ce véhicule vert.
« Notre choix s’est naturellement porté sur le modèle e6 du fabricant chinois mondialement reconnu BYD. Plus économique que ses concurrents, ce modèle dispose d’une autonomie de plus de 300 km et est livré avec son propre chargeur. En cours d’homologation au Canada, il est utilisé dans l’industrie du taxi dans une cinquantaine de villes dans le monde », ont indiqué par communiqué les cofondateurs de l’entreprise, Yung et Fabien Cuong.
Selon Le Journal de Montréal, les voitures seront construites en Chine, puis importées par E-Taxi pour ensuite être adaptées à l’industrie du taxi au Québec. Les propriétaires pourront profiter d’un financement sur six ans et payer le véhicule à raison de 250 $ par semaine. Des négociations ont été amorcées avec le ministère des Transports, de la Mobilité durable et de l’Électrification des transports pour que les propriétaires de taxi aient accès à un incitatif financier par le biais du programme de modernisation du taxi annoncé en décembre.
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E-Taxi ambitionne d’électrifier, à terme, les 8000 taxis du Québec.
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