Le Jour de deuil national, souligné chaque année le 28 avril, rend hommage aux personnes qui ont perdu la vie, ont été blessées, sont devenues malades ou ont vécu une tragédie au travail. Que ce soit par électrisation, électrocution, chute, accident de la route, accident en usine, policier/policière tué.e en devoir, ou pour toute autre raison, cette journée devrait tous nous faire penser « sécurité », à renouveler collectivement notre engagement à améliorer la santé et la sécurité en milieu de travail et à prévenir les blessures, les maladies ainsi que les décès.
Comme le veut la tradition, le 28 avril, le drapeau du Canada flotte en berne sur la Colline du Parlement et sur tous les immeubles du gouvernement fédéral. Chaque année, les employeurs et les travailleurs commémorent le Jour de deuil de plusieurs façons. Certains allument des bougies, déposent des couronnes ou portent une épinglette commémorative, un ruban ou un brassard noir, et se recueillent en silence. On peut tout simplement à se recueillir pour un moment de silence à 11 h le 28 avril.
Une affaire de gars ?
Selon l’Association des commissions des accidents du travail du Canada (ACATC), 1081 décès en milieu de travail se sont produits en 2021 au Canada, soit 1009 hommes et 72 femmes. Parmi les personnes décédées se trouvaient 18 jeunes travailleurs âgés entre 15 et 24 ans.
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